vendredi 19 novembre 2010

Rempile

J'ai pris mon courage à deux mains et, à l'issue de ma dernière conversation avec Christine Boutin je suis allé voir Deng Xiaoping: je lui ai demandé s'il voyait un inconvénient à allonger mon séjour ici. Ca tombe bien, m'a-t-il répondu en substance, car il voulait justement me demander si je pensais pouvoir rester un peu plus longtemps.

Et puis la demande a commencé à faire le tour de la hiérarchie. Le Bouledogue a donné son accord ce matin; Christine Boutin est bien évidemment en phase; j'ai prévenu de manière informelle mon ancien n+1 que mon avion aurait du retard - reste juste désormais à faire avaler la pilulle à Pat Robertson. Mais a priori, c'est tout bon.

Comme me disait la Voisine, la différence entre un touriste et un voyageur, c'est que le voyageur ne sait pas quand il va rentrer chez lui.

Aucun commentaire: